8 choses à savoir avant de prendre une assurance pour votre cheval

En équitation, les compagnies d’assurance ont également un chiffre d’affaires important à réaliser. Cela répond aux besoins des cavaliers de se couvrir en cas d’accidents ou d’incident. Si vous comptez également prendre cette précaution, voici 8 choses que vous devez savoir.

A savoir sur soi

Si vous avez pour projet de souscrire à une assurance pour votre cheval, vous devez connaître votre pouvoir d’achat. Il vous limite et vous fait clairement distinguer par exemple sur La Sellerie Française les offres à votre portée des offres disponibles pour tous. 

En ayant un bon budget, le cavalier sait à quel type de services s’attendre pour quel investissement. Du coup, il souscrit à l’assurance pour son équidé et continue de régler les affaires courantes aussi bien dans sa sphère privée que dans son univers professionnel. Il choisit les bonnes garanties pour sa situation.

Son niveau d’expertise dans le secteur de l’équitation doit également le déranger. Mieux il en sait sur ses propres compétences et les défis qu’il peut relever dans l’immédiat dans le secteur équestre aussi bien pour le loisir qu’en tant que professionnel, mieux il oriente son choix d’assurance.

A savoir sur son cheval 

Les données sur le propriétaire ne suffisent pas pour décider de l’assurance à souscrire. Il faut à priori connaître l’environnement dans lequel le cheval évolue. S’il est en pension ou en demi-pension, la situation sera différente de sa présence dans un pré. Les risques seront également différents.

Les besoins du cheval comptent aussi. Ici, il s’agit de déterminer si le cheval a des problèmes de santé en particulier et s’il a des habitudes spécifiques. Si le cheval préfère aller droit dans le vent sans limite alors le risque de vol est grand.

A savoir sur l’assurance 

En tant que demandeur d’offre d’assurance , il faut surtout veiller à ce que les offres soient en adéquation avec la demande. Dans le meilleur des cas, elles doivent être spécifiques par demande pour favoriser un épanouissement aussi bien du cavalier que de sa monture.

Avant de prendre une assurance, vous devez alors maîtriser de bout en bout le fonctionnement de votre assurance. Pour cela, il est judicieux d’organiser une entrevue avec l’assureur afin de discuter des clauses du contrat et des implications. Le fonctionnement doit vous être détaillé dans un langage clair pour le non-initié.

Ainsi, vous aurez une vue précise des avantages qui découlent d’une collaboration avec tel ou tel assureur. Il ne suffit donc pas de rencontrer un assureur pour conclure un contrat. Il convient d’en voir plusieurs et de sélectionner le plus avantageux en fonction de sa demande.

Les avantages liés à la pratique de l’équitation , au service de gestion de la clientèle et à la promptitude en cas d’incident ou d’accident sont les plus significatifs.

Il y a également des inconvénients qui constituent les limites du contrat. Au-delà des clauses, le cavalier doit se débrouiller seul pour prendre soin de son cheval. Il est donc tenu légalement de respecter sa part du contrat pour continuer à bénéficier de la confiance de son prestataire.

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