Le galop 2
Pour devenir un compétiteur professionnel, il faut passer tous les galops. Il y en a normalement 7. Avant d’en arriver à cette étape, vous devez surtout vous apprêter pour démontrer que vous avez les bases lors du galop 2. Voici comment faire.
Les préparatifs
Pour préparer un examen comme le galop 2, il faut réaliser le minimum possible. Cela implique d’abord une formation à la vie de cavalier aidé de tous les accessoires notamment d’une selle confortable comme celle présenté sur La Sellerie Française. Il doit surtout avoir un moniteur à votre service. Le moniteur peut être sollicité pour un cours individuel comme vous pouvez travailler avec lui lors d’un cours collectif, moins épuisant financièrement. En outre, le moniteur doit être compétent et vous donner le minimum de bases tangibles dans le secteur de l’équitation.
En dehors du moniteur, il convient de libérer du temps pour travailler tout seul avec son cheval. Ce sont des instants privilégiés où le cheval est à la disposition de son cavalier et où les deux sont attentifs l’un à l’autre afin de devenir vite complices. Vous devez veiller à ce qu’en ce moment personne ne vienne troubler votre quiétude.
Pour finir, la préparation passe par la lecture des manuels officiels et des guides fédéraux. Il y est expressément consigné toutes les données utiles pour le cavalier débutant ou ayant le niveau du galop 2. Pour les révisions théoriques, vous pouvez aussi jouer en ligne sur les plateformes professionnelles conçues à cet effet.
Les épreuves
Le galop 2 se déroule comme tous les autres galops en deux grandes étapes. Au niveau de la théorie, les compétences intellectuelles du cavalier sur le secteur sont jaugées, en conformité avec son niveau de compétence en équitation. La phase pratique suit avec des exercices aussi bien à pied qu’en selle pour connaître les aptitudes générales du candidat.
Lors de la phase théorique, pour le candidat, il est question de répondre à des questions d’experts, de professionnels sur certains éléments précis de l’équitation. Il devra maitriser le chapitre des aides, des différentes parties du filet. A cela s’ajoutent, les parties de la selle, les figures de manège. Les questions peuvent porter également sur d’autres éléments au cas où le cavalier se révèlerait très cultivé, assez futé. Il faut surtout prendre soin de mémoriser les gestes de base pour un cavalier débutant. Ce sont les préliminaires avant de monter à cheval et les autres gestes d’après-activité.
La pratique se fait d’abord à pied. Il est exigé du cavalier une conduite à pied de son cheval sur un tracé déjà réalisé. Il doit indiquer qu’il connait son animal et peut le diriger dans la direction voulue sans écart de mouvement. La pratique est aussi l’étape qui permet au cavalier de démontrer qu’il peut lui-même brider son cheval. Il y monte ensuite et s’assure d’avoir bien régler ses étriers. Pour la suite, c’est son aptitude à orienter son cheval en selle qui sera noté. Pour cela, il devra suivre le tracé. Il y a également un petit obstacle à la fin de l’épreuve par-dessus lequel il va falloir passer avec son cheval.