Les allergies (cheval, foins)
Votre cheval a besoin d’évoluer dans un cadre attractif pour être compétitif. Il faut donc lui éviter tout contact avec les éléments pouvant déclencher une allergie pour lui. Si pour vous, une telle réalité est une nouveauté, les données exposées dans les lignes suivantes vous sont destinées.
Quelles allergies des foins pour un cheval
La première allergie qui est souvent remarqué au niveau des chevaux vis-à-vis du foin est l’allergie à la poussière. En effet, le foin offert ou acheté n’est pas toujours propre. Il s’agit des impuretés enregistrées du fait de la rénovation des moyens de culture, de récolte et de stockage. Les chevaux sont donc exposés parfois à de la poussière. S’ils sont allergiques à la malpropreté, la réaction en chaine se déclenche automatiquement. Du coup, le propriétaire a du mal à gérer son animal qui tombe malade.
La seconde allergie remarquée est due aux moisissures et aux spores. Contenus dans les foins servis par certaines fermes peu respectueuses des règles d’hygiène. Cette situation survient dès que le foin livré est stocké trop longtemps avant finalement d’être vendu. Cela offre la possibilité aux moisissures de s’installer, donc de déranger le cheval, enclenchant des problèmes respiratoires.
Quels sont les symptômes ?
Les symptômes d’une allergie de cheval sont faciles à remarquer, tout au moins au début. La première réaction est une toux intense chez le cheval. Tout au moins, le cavalier remarque qu’à l’entame du travail, le cheval n’est pas à son aise et semble avoir quelque chose dans sa gorge. Il peut couler des larmes, tousser fort ou avoir des démangeaisons. A moyen terme, l’allergie peut devenir un problème respiratoire. Le cheval finit par manquer de souffle au point de ne plus suivre le même rythme de travail qu’auparavant. Dans ce cas, la situation est très avancée et mérite une attention particulière de la part du cavalier.
Dans certains cas particuliers, pour les chevaux très résistants, l’allergie n’est pas perceptible comme une réaction à un élément dérangeant. Elle se vit tel une fatigue accrue qui fait baisser les performances du cheval. Il peut devenir du coup très lent ou flemmard. Si rien n’est fait, cela débouche sur une fièvre ou une perte d’appétit.
Quelles précautions prendre ?
Soigner un cheval dans cet état est une urgence pour son cavalier. Pour commencer, il faut noter que le cheval a besoin d’un cadre propre et bien soigné. Pour ce faire, il convient de passer tous les jours le matin et dans la soirée nettoyer son espace de vie. Ainsi, s’il sent de la propreté autour de lui, il sera quelque peu plus détendu et vous offrira des prestations parfaites. Il faut tout de même faire attention aux différents produits employés pour le nettoyage. Plusieurs magasins spécialisés dans l’équitation proposent des produits de qualité pour prendre soin des montures.
En outre, le foin doit être épuré à l’aide d’un purificateur de foin. A la vapeur, le foin est redynamisé et offert au cheval comme un met conservant tous ses nutriments. Il s’en gave proprement et redevient le cheval gai des débuts de collaboration. Vous pouvez obtenir plus de conseils de professionnels et d’experts sur l’usage précis de cet outil.