La galop 5

Le galop 5 constitue une épreuve sur le chemin du cavalier pour devenir un compétiteur officiellement reconnu. Pour cette raison, il convient de le réussir brillamment en faisant de très bonnes figures et en donnant les informations justes. Pour connaître le menu exclusif de cette épreuve, vous pouvez parcourir les lignes suivantes. 

Phase de préparation

Avant d’arriver au jour de l’examen, le cavalier qui passe le galop 5 doit s’assurer d’avoir toutes les bases requises pour un tel test. Cela l’oblige alors à mettre à jour ses connaissances dans le secteur de l’équitation. Il commence par les cours théoriques. A ce niveau, il n’a pas forcément besoin d’un moniteur. Avec le guide et quelques documents de la fédération, il peut réussir sa préparation théorique justement. 

Pour la phase pratique, le candidat a l’obligation de se faire suivre par un expert. C’est avec lui qu’il va découvrir quelques ratés. Puisque l’expert aussi a déjà passé les 7 galops et qu’il est déjà compétiteur, il fera faire des exercices qu’ils jugent utiles afin de relever le niveau de son élève. Tout est une question d’assurance et de complicité avec la monture, à pied ou en selle, debout ou assis, avec ou sans étriers. 

Le galop 5 : la théorie

Les questions théoriques se résument aux différentes notions acquises à la lecture du guide officiel. Elles concernent les différents types de mors de filet, les transitions, les emplacements, les obstacles, les transitions et autres détails qui font partie de la vie du cavalier professionnel. Pour les avoir côtoyés en permanence ou s’être exercer avec, le cavalier ne doit pas avoir du mal à donner les indications demandées. En plus, dans cette partie de l’examen, le candidat doit y aller posément pour montrer sa maîtrise des notions abordées. Il doit également faire attention à articuler convenablement sans stresser pour être entendu du jury. 

Le galop 5 : la pratique

La pratique au cours de cet examen constitue le nœud final. Pour le défaire, il faut faire appel à toutes ses connaissances équestres. Pour commencer, le cavalier doit faire preuve de stabilité et d’assurance. Pour ce faire, sans étriers, il devra évoluer avec son cheval aux trois allures. Cela est exigé aussi bien en intérieur qu’en extérieur. Les développements progressifs à cadence régulière et l’incurvation du cheval et des mouvements de dressage, de cross ou d’obstacle sont attendus du candidat. Pour faire très bonne impression au jury, il est important de viser le ‘’sans faute’’. Ainsi, les recommandations vont affluer à la fin de l’épreuve quitte aux candidats de s’orienter dans la bonne direction. 

L’épreuve ne se déroule pas seulement en selle. Il y a une bonne partie de la pratique qui se réalise debout à pied aussi bien pour le cavalier que pour le cheval. A ce niveau, les deux compagnons complices doivent faire des tours devant le jury. A ce stade, la réactivité du cheval est le point focal. Même avec de longues rênes, il doit comprendre très rapidement les instructions de son cavalier et s’y plier. Pour cela, les préparatifs doivent avoir été rigoureux. 

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