Le galop 4

En tant que cavalier ambitieux, vous avez le devoir de passer les 7 galops. Cela vous permet d’accéder à la phase de professionnel de l’équitation et de participer à toutes les compétitions de votre choix. Le galop 4 a ses particularités. Pour les découvrir, ces informations sont opportunes. 

Préparatifs pour le galop 4 

Les préparatifs pour le galop 4 concernent aussi bien la théorie que la pratique. C’est en s’adaptant à toutes les circonstances requises avec sa monture que le bon cavalier réussit à passer cette étape avec brio. Il est donc judicieux de reprendre les cours avec un moniteur pour la saison dans le but de mieux maîtriser son mode de fonctionnement. Avec un tel expert, les ratés sont vite remarqués et le cavalier a des astuces pour tout au moins parfaire sa posture ou son geste sur le cheval à un moment précis. 

A priori, c’est avec le cheval que le cavalier travail. Il doit alors apprendre à lui communiquer ses instructions même à pied devant lui le tant par la bride que par une légère pression sur la longe. De cette façon, il entame un autre niveau de complicité avec sa monture. Il est impératif qu’il soit bon cavalier sur une bonne monture. Pour les préparatifs, il doit donc passer plus de temps sur son cheval pour que les deux fusionnent et ne fassent qu’un le jour de l’examen et après. Prendre soin du cheval fait également partie des exigences des épreuves du galop 4. 

Pour la théorie, le pli, l’incurvation, les mors de filet usuels, l’accord des aides et les règles de sécurité constituent les gros sujets sur lesquels le professionnel sera interrogé. Il fera alors de son mieux pour relire le guide ou le manuel de la fédération. 

Le galop 4 : l’examen

Le jour de l’épreuve du galop 4, le cavalier est seul avec son cheval sur les cours. Il doit alors l’équiper devant toute l’assistance pour une partie de travail. Il doit l’habiller entièrement sans oublier une once d’équipement. Il doit établir le diagnostic habituel en faisant le contrôle de routine avant de monter à cheval. A pied, pour la suite, les deux compagnons vont faire un parcours à pied en franchissant de petites embûches et en accélérant de temps en temps. L’objectif est de faire voir la maîtrise de la monture et sa pratique avancée grâce à son cavalier. 

Une fois cette étape achevée, il faut se mettre en selle pour la grande partie de l’examen. A ce stade, les foulées aux trois différentes allures sont exigées. Le cavalier doit amener son cheval a changer de rythme ou d’allure à sa guise tout en conservant la bonne posture lui-même. Il est également invité à varier l’amplitude au galop. Pour lui, faire des gestes simples mais esthétiques et logiques est obligatoire. La partie la plus stressante sur toute la ligne est la course d’obstacle. Il faut franchir au moins 8 obstacles placés sur le chemin pour atteindre le point de chute en un laps de temps. Pour ce faire, la monture et le cavalier doivent se faire entièrement confiance et être en symbiose. 

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