Le galop 6

Avant-dernière étape pour atteindre le niveau professionnel, le galop 6 est un essai avant le grand test. Pour réussir cet essai, il vaut mieux prendre de l’avance en en apprenant plus sur le déroulement de l’examen et connaître les informations essentielles. Pour ce faire, lisez. 

Dispositions requises 

Pour passer le galop 6, il est impératif de faire appel à un moniteur. Il faut qu’il y ait les derniers réglages avant votre montée en selle pour de belles prestations. En plus, il s’agit d’un essai, du dernier galop avant le galop 7. Donc, déjà à ce stade, le cavalier doit faire parler de lui et inciter les partenaires, les sponsors à s’approcher. Pour cela, il vaut mieux être aussi sublime et irréprochable que possible. C’est à ce moment précis que le moniteur intervient. Il rectifie les gestes trop amples. Il corrige le décalage léger de la posture et réajuste l’incurvation du cheval pour de meilleures expériences. 

En outre, il convient de soigner sa monture, d’en prendre soin. Cela va se sentir dans sa prestation qu’il est détendu et qu’il fait entièrement confiance à son maître. Il revient alors au cavalier d’être aussi proche que possible de son animal afin de lui inculquer toute la grâce et le raffinement d’une monture qui entre presque dans le milieu professionnel de l’équitation. Prenez plus de cours collectifs pour vous donner de l’assurance. 

Le galop 6 : programme de déroulement

Le déroulement du galop 6 se fait en deux grandes phases. La phase théorique permet au cavalier de faire part de ses connaissances sur l’équitation et la phase pratique démontre sa maîtrise de sa monture et de sa propre personne. 

La théorie

La théorie au galop 6 a des spécificités notamment les questions sur les allures de dressage, les critères de jugement des mouvements de dressage club, les critères de défaut ou de qualité des allures, le galop faux et ses qualités, les principaux entraînements de travail monté. Le cavalier est également solliciter pour révéler ses connaissances sur les noms des principaux obstacles du cross. Avec tous ces éléments, le cavalier est évalué par rapport à sa connaissance du monde équestre en général et à sa compétence de transmetteur de connaissance pour de futures générations en particulier. Il peut normalement à partir de cette phase se positionner comme une aide à un moniteur pour les cours au reste de son équipe. 

La pratique

La pratique est bien plus exigeante que pour le galop précédent. A pied, il ne suffit plus de faire trotter le cheval. Il faut à ce niveau lui faire sauter un obstacle. La difficulté est plus grande en selle. Ici, le cavalier doit, dans la bonne posture, réaliser les transitions entre les différentes allures. Avec sa monture, le saut en extérieur et en terrain varié sera effectué. Pour convaincre le jury, il est obligatoire de présenter les reprises de dressage club.

Toute cette pratique vient après la partie de prise de soin, de toilettage et d’équipement du cheval par le cavalier en personne. Cela lui permet de resserrer les liens avant les épreuves de dressage, de cross et d’obstacle. 

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